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Pour Jan Robrechts (Lavetan), définir le rôle du collaborateur consiste en un important exercice de réflexion. « L’un des défis de ces prochaines années : comment construire une organisation digitale autour de nos collaborateurs tout en leur donnant une place durable au sein de celle-ci ? Cette question n’est pourtant pas nouvelle. Elle a déjà donné lieu, il y a dix ans, au lancement d’équipes autogérées. »

« Rétrospectivement, nous nous sommes lancés beaucoup trop tôt. En pleine phase d’automatisation, les gens avaient tout simplement bien trop peu d’informations et de connaissances pour se gérer correctement. Aujourd’hui, l’autogestion commence à porter ses fruits et suscite une implication et une motivation accrues. »

Partie 3

La transformation digitale centrée sur l’humain

L’humain est donc indispensable au succès de la digitalisation.
Mais que réserve l’avenir ? Les nouvelles technologies et l’automatisation vont-elles reléguer l’humain à un rôle
secondaire ? Ou pire : le rendre superflu, à terme ? La réponse est sans ambiguïté : dans l’usine du futur, l’humain occupe une place centrale.

Des tâches à valeur ajoutée

Materialise utilise déjà les nouvelles technologies pour éliminer certaines tâches humaines. Bart Van der Schueren : « Nous avons créé un algorithme d’apprentissage automatique pour la dentisterie. Il utilise l’IA pour reconnaître et classer certains implants, tels que les couronnes et les bridges. Cela permet d’éviter une étape humaine dans la production de ces implants. Nous continuons donc à miser sur les nouvelles technologies qui rendront la production plus efficace et plus intelligente. »

« Mais ne vous y trompez pas : l’homme sera toujours au centre de nos activités. Nous remplacerons les tâches à coût élevé et à faible valeur ajoutée par des machines et des automatisations, afin que les collaborateurs puissent se concentrer pleinement sur les tâches à valeur ajoutée. » 

Maar wat leveren die data nu concreet op? De tweede horde die maakbedrijven nemen, is die data op een overzichtelijke en efficiënte manier aan de medewerkers presenteren.  

Guy De Winne (ST Engineering): “De voorbije jaren verzamelden we heel wat data, maar die zat verspreid over verschillende databases, zowel vanuit de productie en machines als uit de ondersteunende diensten. We wilden ervoor zorgen dat alle informatie gecentraliseerd werd in één datacube met verschillende views. Zodat elke medewerker vlot de juiste informatie voor zijn functie uit die centrale database kan halen.” 


Nous remplacerons les tâches à coût élevé et à faible valeur ajoutée par des machines et des automatisations,"

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Comment construire une organisation digitale autour de nos collaborateurs tout en leur donnant une place durable au sein de celle-ci ?"

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Pas de fabrication dans le noir

Pepijn Verhaeghe (Vandemoortele) ne croit pas non plus que l’humain disparaîtra des usines. « Certains affirment que la digitalisation et l’automatisation entraîneront une fabrication dans le noir, où les articles sortent de la ligne de production sans aucune intervention humaine. Rien n’est moins vrai : l’homme occupera une place centrale dans cet environnement de travail digitalisé. »

« L’usine intelligente ne bombardera pas les gens d’informations, mais elle transmettra les bonnes données au bon moment aux bons collaborateurs. Ces derniers géreront le travail et se concentreront sur les ajustements des processus. Résultat : encore plus de qualité pour le client et des esprits tranquilles. »

Partie 3 - La transformation digitale centrée sur l’humain

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Partie 3

La transformation digitale centrée sur l’humain

L’humain est donc indispensable au succès de la digitalisation.
Mais que réserve l’avenir ?
Les nouvelles technologies et l’automatisation vont-elles reléguer l’humain à un rôle
secondaire ? Ou pire : le rendre superflu, à terme ? La réponse est sans ambiguïté : dans l’usine du futur, l’humain occupe une place centrale.

Pour Jan Robrechts (Lavetan), définir le rôle du collaborateur consiste en un important exercice de réflexion. « L’un des défis de ces prochaines années : comment construire une organisation digitale autour de nos collaborateurs tout en leur donnant une place durable au sein de celle-ci ? Cette question n’est pourtant pas nouvelle. Elle a déjà donné lieu, il y a dix ans, au lancement d’équipes autogérées. »

« Rétrospectivement, nous nous sommes lancés beaucoup trop tôt. En pleine phase d’automatisation, les gens avaient tout simplement bien trop peu d’informations et de connaissances pour se gérer correctement. Aujourd’hui, l’autogestion commence à porter ses fruits et suscite une implication et une motivation accrues. »

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Comment construire une organisation digitale autour de nos collaborateurs tout en leur donnant une place durable au sein de celle-ci ?"

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Materialise utilise déjà les nouvelles technologies pour éliminer certaines tâches humaines. Bart Van der Schueren : « Nous avons créé un algorithme d’apprentissage automatique pour la dentisterie. Il utilise l’IA pour reconnaître et classer certains implants, tels que les couronnes et les bridges. Cela permet d’éviter une étape humaine dans la production de ces implants. Nous continuons donc à miser sur les nouvelles technologies qui rendront la production plus efficace et plus intelligente. »

« Mais ne vous y trompez pas : l’homme sera toujours au centre de nos activités. Nous remplacerons les tâches à coût élevé et à faible valeur ajoutée par des machines et des automatisations, afin que les collaborateurs puissent se concentrer pleinement sur les tâches à valeur ajoutée. » 

Nous remplacerons les tâches à coût élevé et à faible valeur ajoutée par des machines et des automatisations,"

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Des tâches à valeur ajoutée

Pas de fabrication dans le noir

Pepijn Verhaeghe (Vandemoortele) ne croit pas non plus que l’humain disparaîtra des usines. « Certains affirment que la digitalisation et l’automatisation entraîneront une fabrication dans le noir, où les articles sortent de la ligne de production sans aucune intervention humaine. Rien n’est moins vrai : l’homme occupera une place centrale dans cet environnement de travail digitalisé. »

« L’usine intelligente ne bombardera pas les gens d’informations, mais elle transmettra les bonnes données au bon moment aux bons collaborateurs. Ces derniers géreront le travail et se concentreront sur les ajustements des processus. Résultat : encore plus de qualité pour le client et des esprits tranquilles. »