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Partie 6

Connectivité

Jusqu’à présent, la digitalisation était surtout une question de connexion : connecter les flux d’informations, centraliser les données et relier les différents départements les uns aux autres. La collecte de données ne s’avère pertinente que si elle est utilisée pour améliorer les processus. Et, à cet égard, la connexion est cruciale. Il semble en effet que, dans les années à venir, il s’avérerait primordial que la digitalisation se concentre encore davantage sur le renforcement de la connexion.

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L’avenir repose sur une chaîne d’approvisionnement intelligente, et non sur des maillons intelligents qui fonctionnent indépendamment les uns des autres.”

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Maar wat leveren die data nu concreet op? De tweede horde die maakbedrijven nemen, is die data op een overzichtelijke en efficiënte manier aan de medewerkers presenteren.  

Guy De Winne (ST Engineering): “De voorbije jaren verzamelden we heel wat data, maar die zat verspreid over verschillende databases, zowel vanuit de productie en machines als uit de ondersteunende diensten. We wilden ervoor zorgen dat alle informatie gecentraliseerd werd in één datacube met verschillende views. Zodat elke medewerker vlot de juiste informatie voor zijn functie uit die centrale database kan halen.” 


Voor Lavetan was de verhuis naar een nieuwe, ruimere locatie het startsein voor de digitale transformatie.

Jan Robrechts: “We tekenden één geautomatiseerde waardeketen uit, vanaf het vertrek van het staal bij de klant tot en met de factuur. In onze waardeketen triggert het einde van een procesfase automatisch de daaropvolgende. De intelligentie zit dus versleuteld in het systeem in plaats van in de hoofden van de medewerkers. Die waren immers steeds moeilijker te vinden.

“Onze groei stokte door de schaarste aan labotechnische profielen op de arbeidsmarkt. Maar versleutel je die knowhow zoveel mogelijk in je systemen en processen, dan breek je die talentvijver open. Vandaag heeft ongeveer de helft van onze medewerkers geen labotechnische achtergrond meer nodig.”

Maar het bleef niet bij procesautomatisering alleen. Zo’n vijf jaar geleden startte Lavetan met robotisering, vooral om 24/7 businesscontinuïteit te garanderen. Jan Robrechts: “En sinds een tweetal jaar zitten we in de zogeheten ‘intelligente transformatiefase’. Niet harder, maar vooral nog slimmer werken is nu het motto.”

We tekenden één geautomatiseerde waardeketen uit, vanaf het vertrek van het staal bij de klant tot en met de factuur.”

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5. Processen automatiseren

Duracell a également le projet d’amener la connectivité au-delà de l’enceinte des usines. Jan Casteels : « Nous allons étendre notre plateforme pour échanger des informations avec les clients et les fournisseurs. De cette façon, nous ne serions pas seulement connectés au sein de l’usine, mais tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

Tout commence par une relation de confiance », dit Jan Casteels. « Nous sommes constamment à la recherche de partenaires d’innovation qui partagent notre vision et veulent nous accompagner dans notre démarche. Aujourd’hui, trop de prestataires de services partent du principe qu’ils doivent résoudre les problèmes des clients. Nous avons besoin de partenaires qui proposent eux-mêmes les innovations et nous montrent ce qui est possible. »

Ce n’est pas la technologie, mais l’état d’esprit, qui constitue le plus grand obstacle à un avenir connecté."

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La prochaine étape ? Une chaîne d’approvisionnement entièrement connectée, où les clients et les fournisseurs d’un même écosystème échangent des données et sont connectés en temps réel. Un changement de culture est alors nécessaire. Seules une transparence totale et une confiance mutuelle peuvent permettre aux entreprises de s’engager dans une telle chaîne d’approvisionnement connectée.

Pepijn Verhaeghe (Vandemoortele) : « J’espère que dans cinq ans environ, nous serons en mesure de collaborer de manière ciblée avec les fournisseurs, les clients B2B et toutes les autres parties prenantes de notre écosystème. L’avenir repose en effet sur une chaîne d’approvisionnement intelligente, et non sur des maillons intelligents qui fonctionnent indépendamment les uns des autres. »

Partie 6 - Connectivité

Guy De Winne (ST Engineering) confirme que ce changement de mentalité est nécessaire et urgent : « Ce n’est pas la technologie, mais l’état d’esprit, qui constitue le plus grand obstacle à un avenir connecté », déclare Guy De Winne. « Lorsqu’une erreur se produit aujourd’hui, les gens ont tendance à critiquer assez rapidement. Si nous voulons passer à une chaîne entièrement connectée, nous devons instaurer une culture de la transparence. »

Un réseau fiable et rapide est nécessaire pour permettre aux machines de communiquer entre elles et d’échanger des données en interne et en externe.

Francis Duvivier : « C’est sur ce point que Proximus peut jouer un rôle important en tant que partenaire. Aujourd’hui, nous le faisons principalement grâce à une bonne connexion internet et téléphonique, et, dans certains cas, grâce à une infrastructure cloud. Nous attendons à présent avec impatience la 5G, qui va changer la donne dans le secteur. La 5G offre par exemple une connexion et un temps de réponse beaucoup plus rapides, une fiabilité accrue et la possibilité de connecter beaucoup plus d’appareils. Les témoignages des Usines du Futur montrent également que cette demande de connectivité est importante. »

Geert Jacobs : « Ces temps de réponse plus rapides et cette plus grande fiabilité permettront aux usines du futur de connecter encore plus de machines. Un réseau 5G permettra notamment de contrôler sans fil des robots, des cobots et d’autres machines. De nombreuses entreprises souhaitent créer un écosystème avec leurs fournisseurs, leurs clients et leurs partenaires. Un opérateur télécom comme Proximus peut jouer un rôle majeur dans ce domaine. Avec leur expérience en matière de connectivité et de traitement des données, il peut être très utile pour les entreprises de regarder au-delà des frontières de leur secteur et d’apprendre les unes des autres. Nous constatons que des acteurs comme Proximus s’orientent clairement vers l’industrie manufacturière. De telles initiatives peuvent être exploitées à l’avenir pour créer un véritable écosystème. »

Proximus vous accompagne dans votre transformation digitale.  
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Connectivité

Partie 6

Jusqu’à présent, la digitalisation était surtout une question de connexion : connecter les flux d’informations, centraliser les données et relier les différents départements les uns aux autres. La collecte de données ne s’avère pertinente que si elle est utilisée pour améliorer les processus. Et, à cet égard, la connexion est cruciale. Il semble en effet que, dans les années à venir, il s’avérerait primordial que la digitalisation se concentre encore davantage sur le renforcement de la connexion.

La prochaine étape ? Une chaîne d’approvisionnement entièrement connectée, où les clients et les fournisseurs d’un même écosystème échangent des données et sont connectés en temps réel. Un changement de culture est alors nécessaire. Seules une transparence totale et une confiance mutuelle peuvent permettre aux entreprises de s’engager dans une telle chaîne d’approvisionnement connectée.

Pepijn Verhaeghe (Vandemoortele) : « J’espère que dans cinq ans environ, nous serons en mesure de collaborer de manière ciblée avec les fournisseurs, les clients B2B et toutes les autres parties prenantes de notre écosystème. L’avenir repose en effet sur une chaîne d’approvisionnement intelligente, et non sur des maillons intelligents qui fonctionnent indépendamment les uns des autres. »

Duracell a également le projet d’amener la connectivité au-delà de l’enceinte des usines. Jan Casteels : « Nous allons étendre notre plateforme pour échanger des informations avec les clients et les fournisseurs. De cette façon, nous ne serions pas seulement connectés au sein de l’usine, mais tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

Tout commence par une relation de confiance », dit Jan Casteels. « Nous sommes constamment à la recherche de partenaires d’innovation qui partagent notre vision et veulent nous accompagner dans notre démarche. Aujourd’hui, trop de prestataires de services partent du principe qu’ils doivent résoudre les problèmes des clients. Nous avons besoin de partenaires qui proposent eux-mêmes les innovations et nous montrent ce qui est possible. »

Guy De Winne (ST Engineering) confirme que ce changement de mentalité est nécessaire et urgent : « Ce n’est pas la technologie, mais l’état d’esprit, qui constitue le plus grand obstacle à un avenir connecté », déclare Guy De Winne. « Lorsqu’une erreur se produit aujourd’hui, les gens ont tendance à critiquer assez rapidement. Si nous voulons passer à une chaîne entièrement connectée, nous devons instaurer une culture de la transparence. »

Ce n’est pas la technologie, mais l’état d’esprit, qui constitue le plus grand obstacle à un avenir connecté."

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Un réseau fiable et rapide est nécessaire pour permettre aux machines de communiquer entre elles et d’échanger des données en interne et en externe.

Francis Duvivier : « C’est sur ce point que Proximus peut jouer un rôle important en tant que partenaire. Aujourd’hui, nous le faisons principalement grâce à une bonne connexion internet et téléphonique, et, dans certains cas, grâce à une infrastructure cloud. Nous attendons à présent avec impatience la 5G, qui va changer la donne dans le secteur. La 5G offre par exemple une connexion et un temps de réponse beaucoup plus rapides, une fiabilité accrue et la possibilité de connecter beaucoup plus d’appareils. Les témoignages des Usines du Futur montrent également que cette demande de connectivité est
importante. »

Geert Jacobs : « Ces temps de réponse plus rapides et cette plus grande fiabilité permettront aux usines du futur de connecter encore plus de machines. Un réseau 5G permettra notamment de contrôler sans fil des robots, des cobots et d’autres machines. De nombreuses entreprises souhaitent créer un écosystème avec leurs fournisseurs, leurs clients et leurs partenaires. Un opérateur télécom comme Proximus peut jouer un rôle majeur dans ce domaine. Avec leur expérience en matière de connectivité et de traitement des données, il peut être très utile pour les entreprises de regarder au-delà des frontières de leur secteur et d’apprendre les unes des autres. Nous constatons que des acteurs comme Proximus s’orientent clairement vers l’industrie manufacturière. De telles initiatives peuvent être exploitées à l’avenir pour créer un véritable écosystème. »

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L’avenir repose sur une chaîne d’approvisionnement intelligente, et non sur des maillons intelligents qui fonctionnent indépendamment les uns des autres.”

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